2 cours le vendredi midi, auxquels il a bien fallu donner un nom.
Le cours est ouvert à quiconque le souhaite, mais je le trouve particulièrement adapté à ce genre de personne.
Cette semaine j’ai la très grande chance d’avoir bénéficié d’une journée quasiment off.
Un jour de temps libre …
C’est suffisamment rare pour j’en fasse une fête et que je célèbre ce temps pour moi en vivant les évènements de la journée avec une sensibilité particulière. Continue reading
Vous savez que j’ai un esprit scientifique.
Or récemment, j’ai fait une découverte bouleversante !
En observant la matière de plus près…
J’ai vu des atomes…
qui jouaient entre eux…
et qui se tordaient de rire ! Continue reading
L’idée de cet article vient directement de ce que je vis aujourd’hui.
La journée passe avec une extraordinaire fluidité.
J’ai fait tout ce que j’avais à faire et j’ai du temps pour moi.
Ecrire et jardiner, cuisiner et lire. Dormir et méditer.Courir et manger.
Recevoir des amis et échanger. Que vais-je choisir ?
LA JOIE DE VIVRE
Je vous en parle tous les jours parce-que c’est mon moteur.
Et c’est prouvé … Le bonheur se cultive !
Notre cerveau sait très bien le faire et dispose d’une panoplie d’hormones pour y parvenir sérotonine, dopamine, andorphine, ocytosine etc… les bonnes copines !
Je traverse une période riche en émotions. Tous azimuts.
Aujourd’hui je partage avec vous celles qui nourrissent mes séances de SHIATSU.
Je suis humaine : j’ai des émotions dans les diverses activités de ma vie.
Mon exercice dans cette discipline est tout récent – je pratique depuis 3 ans – à l’aune de ma vie professionnelle ces trois années représentent une très courte durée.
A l’aune de la culture et de la l’apprentissage de la médecine chinoise et de ces principes … il s’agit d’une goute d’eau.
Il n’en demeure pas moins que le SHIATSU dans ce qu’il véhicule de perceptions diverses, est puissant. Continue reading
Je vous présente aujourd’hui les deux compagnons qui partagent ma vie depuis un temps dont j’ai oublié la longueur.
Mapeur et Senti. Il vous faudra vous en faire une idée… car je les transporte bien cachés au fond de moi. Ils craignent un peu la lumière. Là juste à côté j’ai fait un petit dessin qui ne ressemble à rien.
J’ai vraiment envie de vous parler d’eux en détail parce-qu’ils m’ont réservé une belle surprise récemment et je trouve joli de partager ce qu’on a vécu lorsqu’on en tire quelque chose de positif.
Mapeur est toute petite. Je ne pense pas très souvent à elle, parce-que je sais qu’elle est toujours là, et qu’elle se débrouille très bien toute seule.
Elle est un peu espiègle et pointe le bout de son nez quand elle le décide; alors je l’accueille avec plus ou moins de patience, d’agacement, parfois un peu de bienveillance. Rarement… car je suis le plus souvent fatiguée d’avance de la voir me faire ses surprises – elle arrive au moment ou je m’y attends le moins ( sinon ce ne serait pas une surprise hein … ) et de fait c’est le moment ou je ne peux pas forcément prendre soin d’elle.
Résultat on communique super mal … je m’aperçois qu’elle est là alors qu’elle est déjà bien campée sur ses deux longues pattes maigrichonnes avec ses gros yeux tout ronds, et qu’elle me dévisage jusqu’à ce que je dise quelque chose.
C’est toujours le même scénario …. et c’est souvent une catastrophe.
Il suffit que je fasse mine de l’ignorer parce-que je suis réellement occupée, voir pré occupée par quelque chose pour qu’elle se renfrogne, et qu’elle commence à « grincher », puis petit à petit elle monte le ton. Elle enfle, elle se fait plus présente, et je m’aperçois alors qu’elle prends le dessus et que je n’arrive plus à croiser son regard. Et voilà, c’est trop tard. Il est arrivé qu’elle se mette à hurler et je peux vous dire que les hurlements de Mapeur n’ont rien d’agréable. Continue reading
Un jour, un homme aborde le grand philosophe Socrate et lui dit :
« Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur un de tes amis ?
Socrate l’arrête aussitôt :
– Avant que tu me le dises, j’aimerais savoir si tu as vérifié ce que tu veux me dire ?
L’homme répond :
– Non. On me l’a seulement raconté…
Socrate entend et continue : Tu ne sais pas si c’est la vérité et tu l’as entendu – mais peux-tu me dire si ce dont tu veux m’entretenir au sujet de mon ami est une chose de bien ?
– Bien au contraire, ce n’est absolument pas une chose de bien !
Avec la même bienveillante écoute Socrate enchaine :
Tu ne sais pas si ce que tu as entendu est la vérité et ça n’est pas une chose de bien – mais crois-tu qu’il soit utile de me rapporter ce que tu viens d’apprendre sur mon ami
– Non. Pas vraiment.
Socrate termine la conversation : Peux-tu m’indiquer pourquoi tu veux me raconter quelque chose dont tu ne sais pas si c’est la vérité, qui est peut-être négatif et qui n’a pas d’intérêt ?
Un groupe de diplômés universitaires qui poursuivaient chacun une carrière très brillante et prospère, partent un beau jour rendre visite à leur vieux professeur d’université.
Très vite, la conversation tourne autour du stress au travail et dans la vie, dont se plaignent amèrement les visiteurs.
Voulant leur offrir du café, le professeur se rend dans la cuisine et revient avec une cafetière et une grande variété de tasses : en porcelaine, en plastique, en verre et en cristal. Certaines d’entre elles sont d’un design ordinaire, d’autres plus originales ou raffinées.
Le professeur leur demande de se servir eux-mêmes le café.
Lorsque tous les étudiants ont leur tasse de café bien en main, le professeur leur dit :
« Observez : vous avez tous choisi les tasses les plus dispendieuses, laissant de côté, celles qui sont les plus ordinaires, et qui n’ont aucune valeur visible.
Malgré le fait qu’il est normal de vouloir ce qu’il y a de mieux pour vous-même, ce choix est la source de vos problèmes et de votre stress. Il est évident que la tasse elle-même n’ajoute aucune qualité à la saveur de votre café. En général, c’est une dépense inutile et parfois cela cache ce que l’on boit. Ce que vous vouliez vraiment c’était du café, pas la tasse, mais consciemment vous avez choisi les plus belles tasses… puis vous avez aussitôt vérifié la tasse des uns et des autres.
Considérez ceci : la Vie est le café, les emplois, l’argent et la position sociale sont les tasses. La tasse que nous possédons ne peut définir, ni changer la qualité de la vie que nous désirons vivre ou que nous vivons.
Parfois, en nous concentrant seulement sur la tasse, nous oublions de savourer le café. Savourez le café …pas seulement la tasse ! »
Les gens les plus heureux ne possèdent pas toujours ce qu’il y a de mieux dans la vie. Cependant, ils jouissent de tout ce qu’ils possèdent et ceci sans envie et sans jalousie.
Vivez avec simplicité. Aimez avec générosité. »
Prenez soin de vous !
A bientôt
Un mendiant arrive à la porte principale du palais de l’empereur. Il est laid, triste, mal en point, sent mauvais et ne semble posséder que son bol.
Il dit aux gens de la maison qu’il met l’empereur au défi de remplir ce bol. L’empereur qui entend la conversation accourt et s’approche du mendiant et lui dit sans précaution : « C’est ridicule, je suis très riche, je vais remplir ton bol sans problème ».
Il envoie un serviteur chercher des bijoux, de l’or… et observe que tandis qu’il les place dans le bol, ceux-ci disparaissent, s’évanouissent immédiatement. L’empereur se saisit d’autres joyaux, de barres d’or et d’argent, de lingots et à chaque fois, … ils disparaissent. Il y jette alors rageusement, de l’encens, de l’ambre, des épices et des pierres précieuses – jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus rien.
– Mais comment cela est-il possible … qu’est-ce que ce bol ? demande alors l’empereur démuni au mendiant.
– Ce bol, … répond le mendiant, est l’esprit .