Ravie de partager ceci avec vous

Quelqu’en soit sa cause il arrive qu’un déséquilibre se manifeste au travers du corps et/ou du mental.
C’est la merveilleuse alarme Le mal-a-dit.
Il faut alors pouvoir répondre aux signaux du corps, de l’esprit, du mental et comme le peintre apprivoise sa palette de couleur – trouver les circuits qui permettent de changer de schémas, changer d’angle de vue pour tracer une route vers l’harmonie.
Prendre conscience du mal – l’accepter – en prendre soin.
Paradoxalement on commet 3 erreurs qui maintiennent actifs des schémas connus qui nourrissent les blessures et alimentent d’autant le déséquilibre.
Est-ce que ce cercle vicieux te parle ?
La première erreur consiste à nier le problème, à penser que les choses sont passagères, quelles reviendront d’elles – mêmes à la « normale », avec le temps.
C’est oublier que le temps a déjà fait son œuvre, que le déséquilibre n’est pas survenu d’un seul coup.
Il y a forcément eu des signaux, des alarmes qu’on n’a pas pris la peine de lire.
Au mieux on les a vu arriver et on a mis des stratégies en place pour que «ça passe ».
– Une grande fatigue, une non-envie de faire.
– Un désengagement dans une relation de l’agacement
– Des douleurs physiques, des problèmes d’insomnie …
– Une intolérance alimentaire, le diagnostic d’une maladie auto immune etc …
On a l’impression que c’est banal et qu’en utilisant un peu de chimie « ça va le faire ».
– Maux de tête « comprimé magique » – HE – plantes – jusqu’à la prochaine crise
– Difficulté à dormir pilule miracle du Dr Schmolduck pour saluer Morphée.
– Mal au dos massage et «décontractant crème ».
(d’ailleurs à la radio j’ai entendu BigBrother demander de continuer à bouger et surtout ne pas s’arrêter … il a dit :
« ça va passer ! »)
mais finalement je viens de me faire opérer – j’en avais plein le dos – maintenant je suis en convalescence. Ça va aller.
Je pourrais énumérer d’autres de ces petits et grands maux et leur trouver un remède, une stratégie qui résout le problème – en apparence.
Parce-qu’en réalité nier le problème c’est SE soi-NIER.
La deuxième erreur consiste à changer de thérapeute et/ou de thérapies toutes les 10 minutes.
Le corps, l’esprit sont en mouvement et l’équilibre c’est justement la gestion du mouvement subtil.
Pas de magie.
– On est constitué à + de 60% d’eau avec 2 litres à renouveler chaque jour (ça bouge, c’est fluide, c’est de la transformation d’énergie).
– On respire de l’oxygène chargé d’impuretés (pour le corps) qu’il faut traiter pour nourrir les organes (ça aussi ça bouge, c’est volatile, c’est de la transformation d’énergie).
– Le milieu dans lequel on évolue nous demande une constante adaptation.
Que ce soit pour respirer-manger-toucher, regarder-marcher, entendre, éliminer, sentir, nous reproduire. Le cerveau reçoit un signal, analyse son contenu, et oriente le signal vers les cellules qui vont pouvoir agir pour le maintient de l’équilibre …
On se rend bien compte que même s’il y a des tâches hyper rapides ça demande à l’organisme de s’adapter. L’infiniment petit s’adapte infiniment plus vite que l’infiniment grand. Evidemment si on ne se laisse pas le temps de traiter les informations, d’analyser clairement les effets d’une nouvelle thérapie sur tout l’organisme (le mental compris) en le saturant d’informations parce-qu’on veut aller trop vite — les informations, les traitements donc se parasitent mutuellement (avec un peu d’entrainement on peut même arriver à faire disjoncter de système !)
Dans le meilleurs des cas on arrête tout sans rien analyser – le problème s’est accentué ou déplacé – on a perdu beaucoup d’argent et de confiance.
Au bout du compte on demande à l’organisme de trouver l’énergie pour traiter toutes ces infos parfois contradictoires au lieu de lui apporter l’énergie nécessaire pour traiter le problème.
Le mieux … est l’ennemi du bien quand on ne comprend rien.
La troisième erreur est de s’enfermer de manière hypnotique dans ce mal-a-dit.
Ne pas en parler, se laisser bouffer par la douleur en y trouvant une raison fatale.
Oui il y a une raison pour laquelle le système ne fonctionne plus de manière harmonieuse.
– Ce qui est fatal c’est croire qu’on n’y peut rien, qu’on n’a pas le pouvoir d’y changer quelque chose et qu’on n’est pas responsable.
C’est la troisième erreur et c’est souvent celle qui motive toutes nos actions.
Elle se nourrit de la peur de prendre le mal à bras le corps.
Elle pue le stress – fait perdre tout sens critique, toute analyse, toute responsabilité.
Pour rappel : l’état naturel de bonne santé est l’état dans lequel revient spontanément tout organisme laissé à lui-même en l’absence de perturbation extérieure. C’est l’état d’équilibre – d’homéostasie.
Autrement dit, quand quelque chose déraille : il est important de l’accepter avant de lui enfoncer la tête sous l’eau à coup de médocs.
Prendre le temps. Parler avec le thérapeute avec lequel ça matche émotionnellement (!) – se faire confiance – ça veut aussi dire se respecter (soi -m’aime ») .
Il m’est arrivé de donner ma confiance simplement parce-que l’impression (du verbe imprimer) que j’avais d’une personne était quasiment palpable. Je ne l’ai jamais regretté.
Intuition, feeling…J’ai aussi rencontré de soi-disant «grands-maîtres » auxquels j’ai tenté de l’accorder mais qui n’ont pas cherché à m’aider.
Ils m’ont pris mon énergie, mon argent, et je suis restée sur le bord du chemin avec des douleurs renforcées par la tristesse de ne m’être pas respectée.
Mais la bonne nouvelle c’est qu’en conscience tout est possible !
💚#onlysmile#goodvibes#onlygoodvibes
Si tu te reconnais dans ce post, si une de ces erreurs fait écho à ton parcours,
contacte-moi pour en parler !
solangeminalibella@mangecomtuvis.fr